Être sur l’perron à attendreLa porte ne s’ouvre pas cette foisÊtre comme un con et surprendreLes amants enlacés, ça fait mal au foie.Sans coup férir, alors, il s’en vaRetrouver les libations d’autrefoisAccoudé au comptoir, d’un bar à HôtessesRetrouver la chaleur, l’ivresseCette nuit
La pauvre hôtesse, cette foisne joue pas avec les sentiments de ce gars,Et comme l’infirmière qui sous sa tutelleCache le rescapé du dernier carat.Coeur d’artichaut, il pleure dans ses bras,Elle lui propose un lit pour la nuit.Il s’endort dare-dare sous son poidsL’hôtesse sourit heureuseCette nuit