Soleil couchant, l’abri d’un vieux chêne, je m’assiedsl’air alarmant, oui j’ai l’âme en peine - voir mes pieds -Ça prend du temps, le rêve à la traîne de t’aimer« - Souffle le vent » pousse mes fredaines du passé.
Tire la nuit les rideaux de la solitude :« Qui m’avait dit que tu l’veuilles ou pas l’habitude,d’être petit face aux aléas, face à soi :« Se s’ra la vie qui se charg’ra d’ toi petit gars... » »
Au crépuscule, sur quelques rayons égarésles particules, puis l’herbe à foison, sous mes piedsNus de nouveau quand les sensations éveillées...- Frais - Sur ma peau une bise - au front - a soufflé...